Les bénéficiaires directs
- Les jeunes (femmes et hommes) de 15 à 35 ans, scolarisés ou non des régions transfrontalières du Burkina Faso, du Mali, du Niger, de la Côte d’Ivoire et du Togo ;
- Les personnes déplacées internes (PDI);
- Les groupes marginalisés y compris les personnes vivant avec un handicap ;
- Les organisations de jeunesse et de femmes.
Les résultats attendus
- Soixante-six (66) jeunes dont 50% de femmes, 30% de PDI/réfugiés et 10% de personnes vivant avec un handicap sont formés en tant que facilitateurs communautaires sur l’EMI et la gestion des conflits dus à la désinformation et au discours de haine et animent des sessions de formation et des causeries éducatives, en langues locales, au profit des jeunes (hommes et femmes) de leurs communes respectives ;
- Au moins 60.000 jeunes (hommes et femmes) sont sensibilisés sur la gestion des malentendus et idées reçues qui favorisent les conflits, grâce aux actions innovantes de sensibilisation et de plaidoyer social ;
- Le renforcement des capacités des jeunes (hommes et femmes) et des OSC de jeunesse favorise une meilleure qualité de leurs actions de terrain, permettant d’élargir l’accès aux droits ainsi qu’un dialogue accru avec les décideurs (gouvernement, etc.) ;
- La préservation de la cohésion sociale, la résilience contre l’extrémisme violent ainsi que la consolidation de la paix sont renforcées, notamment avec la participation des femmes, des jeunes et des groupes marginalisés – dont les Personnes Déplacées Internes ;
- Les Droits Humains, les libertés d’expression et d’association, tout comme les autres droits civils et politiques sont promus, notamment auprès des femmes, des jeunes et des groupes marginalisés – dont les Personnes Déplacées Internes – et mieux respectés sur l’ensemble du territoire des pays d’intervention ;
- Les jeunes (hommes et femmes) suivent et analysent les tendances de l’opinion publique issues des médias sociaux en vue de développer des actions correctives pertinentes ;
- Les meilleurs porteurs d’initiatives locales de jeunesse sont reconnus et récompensés ;
- Les jeunes, les décitraditionnelsdeurs et les chefs communautaires et religieux ont amélioré leur collaboration grâce aux Mécanismes et modernes de prévention et de gestion des conflits ;
- Les jeunes ont plus d’opportunités de réseautage et de plaidoyer lors de plateformes d’échange régionales et internationales ;
- L’autonomisation socio-économique des populations vulnérables, en particulier des femmes, des jeunes et des PDI est renforcée ;
- EducommuniK est renforcée dans ses capacités institutionnelles et opérationnelles et améliore sa visibilité.
- Développement des capacités des jeunes (hommes et femmes) et des OSC de jeunesse en éducation aux médias et à l’information (EMI) pour la gestion des informations sensibles aux conflits ;
- Campagne de sensibilisation et de plaidoyer social sur la cohésion intra et intercommunautaire et l’accès à des informations vérifiées et sensibles aux conflits
- Renforcement de l’engagement citoyen positif des jeunes (hommes et femmes) au sein de leurs communautés et sur les réseaux sociaux numériques
- Lobbying et plaidoyer en faveur de l’implication des jeunes (hommes et femmes) dans les Mécanismes traditionnels et modernes de prévention et de gestion des conflits
- Renforcement de l’autonomisation socio-économique des jeunes (hommes et femmes) ainsi que des populations vulnérables
- Renforcement des capacités institutionnelles, opérationnelles et de la visibilité de EducommuniK